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27 mars 2013 3 27 /03 /mars /2013 06:34

Ce week-end  j'étais au salon des vins, un copain vigneron nous avait demandé, "N" et moi, de tenir son stand. Il était retenu pour des raisons familiales. 

On a donc vu passer une cohorte de dégustateurs, de buveurs à bon compte, de profanes timides, bref nos frères humains aimés.

 

DSCF1193.JPG

 

Un sous-préfet, d'une sous-préfecture voisine, fort aimable et même d'agréable commerce, a été très séduit par ce cabernet ample, large d'épaule et souple, délicieux. Mais il nous a confié : "c'est très bon, mais mettre sur la table de ma sous-préfecture un vin qui s'appelle "les cabernets sont au fond du couloir" c'est... comment dire...délicat."

 Et comme l'autre vin s'appelle "l'enfant terrible"... Il n'en a pas pris non plus!

DSCF1198.JPG

 

C'est dur le boulot de sous-préfet!

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commentaires

M
hormis les buveurs à bon compte et les profanes ,<br /> il y avait aussi quelques amis...(même parfois non buveurs)<br /> sans rancune !!!
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H
Evidement le sous prefet n'invite que les cols montes...
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C
J'ai connu des sous-préfets auxquels ces clins d'oeil malicieux n'auraient pas déplu. Autres temps...
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A
Pour vendre aux sous préfets voici quelques noms de crus : "Ordre et justice", "paix sociale" "vive l'anarchie"... Euh! non le dernier c'est pas pour les préfets, c'est pour Balthazar, un nom vin<br /> sur mesure en quelque sorte.
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