Nombre de lecteurs(rices) inconnus(es) me demandent ce que je fous !
Soyons honnête, la douceur d'automne n'incite guère au labeur. Promis, dès qu'il pleut je me mets sous le joug d'une production quotidienne. Le canevas du prochain feuilleton est prêt, y a plus qu'à s'y mettre avec un coup dans le pif pour obtenir un style plus fluide.
En attendant voici mon slogan face à la crise :
Ayons des couilles fermons les bourses !