Dans ses bordures fleuries, Saint-Jean-de-Thouars cultive la guerre et propose des évocations de 14/18.
Ainsi en est-il de ce piou-piou abattu dans les pâquerettes... On s'interroge avec un léger malaise quésaco : la fleur au fusil ?Les pissenlits par la racine ?
Devant la mairie c'est une tranchée qui est symbolisée : quésaco : la guerre de position dansl'administration ?
L'an prochain : 60e commémoration de la bombe sur Hiroshima... Entre frayeur et curiosité, mon coeur balance.