Allez sur http://sapristi-balthazar.blogspot.fr/
En dehors du jour et des horaires... il faut se retenir.
Lire la suiteLe vélo, pour dire les choses simplement... Je m'en tamponne depuis que je sais monter dessus. On pédale, on avance, on se prend des moucherons sur les lunettes... Pas de quoi en faire de la littérature. Et pourtant. J'ai un pote, Michel Dalloni, qui...
Lire la suiteGérard Moreau, c'est mon pote, j'en parle d'autant plus volontiers qu'il ne lit pas le blog. Comme les anges, il aime tout ce qui porte des ailes. Le voilà donnant la bécquée à un oisillon délaissé par sa mère. Le piaf s'en fout "papa poule" est là. Rien...
Lire la suiteL'autre jour, alors que j'étais dans les Pyrénées et que je sirotais un Jurançon à la terrasse d'un estaminet, profitant du bon air et des saveurs de ce charmant cépage, j'avise un homme aux étranges manières. Thierry Fresnot, c'est son nom, observe la...
Lire la suiteJe ne suis pas un fidèle des monuments aux morts, des gerbes et des clairons, en bon anarchiste je me tiens éloigné des marches militaires ; mais je vais chaque dernier samedi d'Avril à la cérémonie organisée en mémoire des déportés. J'y vais parce que...
Lire la suiteOn ne lit plus guère Blaise Cendrars aujourd'hui, et c'est bien dommage, la preuve dans "Bourlinguer" : ... Le prolétaire qui se saoule le samedi soir "après le turbin" ou l'ouvrier agricole le dimanche matin, jours de paie, ce n'est pas tant pour oublier...
Lire la suiteGérard Pichot me manque. C'était mon ami, je me flatte de le dire. Résistant, déporté, il est revenu "sans haine en lui pour le peuple allemand" comme dit la chanson. Il allait souvent raconter aux enfants cette vie d'avant, cette atroce vie dont il n'était...
Lire la suiteUn jour, enfin c'était un soir. Moi, journaliste fatigué et imbibé j'avais envie d'aller me coucher. Mais j'avais donné ma parole à l'association de Thouars, "Blues & C°" d'aller écouter son invité, un obscur amerloc au nom brutal : Ron Hacker. Pfff!...
Lire la suiteSavoir n'est rien puisque un souffle nous tord le coeur Savoir n'est rien puisque la paix, d'un regard, est anéantie Savoir n'est rien puisque le monde de nous se moque Ou bien est-ce nous qui fabriquons notre ignorance ? Ou bien est-ce nous ... B.F.
Lire la suite