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Les archives de Sapristi Balthazar sur l'ancien blog (over-blog)

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Un géant cordon bleu

Un géant cordon bleu

Si vous voulez couper la musique cliquer à gauche sur les deux petites barres verticales. Dans l'Internationale, la vraie, les deux derniers vers sont en général passés à la trappe! Les Rois nous saoulaient de fumées. Paix entre nous, guerre aux tyrans...

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Cracra...

Cracra...

La vallée du Thouet à Thouars. Cela devrait donner des envies d'escapades, de pique-nique en famille, de câlins dans les herbes tendres, de siestes bercées par le friselis des flots. Mais il faut bien reconnaître que le panneau invite plutôt à passer...

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Dernière lettre

Dernière lettre

Mes bien aimées, Dans une heure, peut-être moins, ils viendront. Ils me pousseront contre le mur et me mettront en joue. Ils m’ont tendu ce papier et ce crayon avec une indifférence qui m’a troublé. Il n’est pas facile de dire combien vous me manquerez....

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Du blues en noir et blanc

Du blues en noir et blanc

Un jour, enfin c'était un soir. Moi, journaliste fatigué et imbibé j'avais envie d'aller me coucher. Mais j'avais donné ma parole à l'association de Thouars, "Blues & C°" d'aller écouter son invité, un obscur amerloc au nom brutal : Ron Hacker. Pfff!...

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La phrase romanesque

La phrase romanesque

Vous n'avez pas le temps de lire ? Balthazar est là. Il écrit pour vous des phrases romanesques qui valent des volumes entiers. Vous les lisez en moins de 30 secondes et votre imagination fait le reste. Il se levait le matin le premier, il était toujours...

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L'art de lire les classiques

Le professeur Balthazar revient : ach ! la Kultûûûre

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L'aphorisme de la semaine

Proverbe canin: " qui a vu, aboiera" Balthazar Forcalquier

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Brésil

Brésil

Préparant nos errances rêvées, je m'étais procuré à bon compte (chez un soldeur parisien), un livre sur le Brésil illustré de gravures. Alors soldat, je fus terrassé par une violente fièvre soignée sans mesure par des infirmiers fièrement armés de seringues...

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Dans l'herbe

Dans l'herbe

Avec une vivacité, dont seules les perfides connaissent les puissants ressorts tendus depuis la nuit des temps, l’ortie me fouetta la jambe nue. Juste une petite moue de douleur. J’avance dans les herbes hautes. Sous les pieds nus craquent des brins de...

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Temps béni

Temps béni

Il fut un temps béni où l'on pouvait afficher ses préférences, fumer à la télé, trinquer sans honte, s'aimer sans contrainte. Même les quatre évangiles canoniques ne parlaient pas d'homosexualité. Temps béni où l'on pouvait accrocher à son revers de veston...

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